dimanche, 26 mars 2006
Visions de printemps, IV
La mer lie de vin, on s'enfonce dans l'eau avec vous, puis pleure en entendant le jeune homme chevelu appeler, éploré, Branca Flor. Elle joue de la "guitare" (théorbe, luth) à bord d'un "drakkar" richement peint. L’œil capte ce que ne saisit aucun mort.
Le cheval au labour cerne un chant qui s'éteint dans les volutes roux des sillons. La pente rude à l'ânière, avec ses bêtes au joug. La faîne est bien le fruit du hêtre. On imagine la magie.........
......... aucun âne n'est saisi de faim-calle.
21:38 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0)
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