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vendredi, 31 mars 2006

Perpignan

    À peine le trottoir battu d'un pas incertain, en sortant du Crédit Lyonnais, j'entrevis Aurélie (mais si, la vraie Aurélie, la star des commentaires), qui venait d'une rue adjacente et orientale, et que j'allai saluer, avant d'avoir avec elle une conversation relative à l'amorphie régnante, contre laquelle il est difficile de lutter. Puis nous vîmes arriver, du sud, Marie, une autre de mes étudiantes de cette année, dont le compagnon est aussi un fidèle lecteur de mes proses. Comme elles filaient vers la faculté, je n'ai pas voulu les retenir plus avant.

La rue Nationale, à Tours, est le centre de l'univers.

11:25 Publié dans 410/500 | Lien permanent | Commentaires (3)

Commentaires

Il était donc approximativement 10H45...

Écrit par : Denis | vendredi, 31 mars 2006

Vous avez passé un accord avec Denis pour me surveiller ? ;-)

Écrit par : Marie | vendredi, 31 mars 2006

J’ai effectivement échangé quelques mots avec mon ancien Professeur (et avec un “p” majuscule, que dit la hiérarchie Jacques?), qui eut soudain l’idée, en voyant arriver Marie, d’un cours « sur le trottoir » pour reprendre ses termes : original, certes, et peut-être même drôle ; mais nous étions, toutes deux, attendues à l’université, entre ses couloirs devenus presque lugubres, vides tout simplement.

J’ai bien peur, cher Professeur, que cette amorphie régnante perdure et s’accentue de plus belle, puisque nous n’étions que quatre (et deux professeurs (!)), d’où l’intérêt de notre présence avec Marie. Nous ne sommes même pas arrivées en retard, après avoir eu l’opportunité de blogger à l’oral (à 10H45 (très juste Denis !)) par cette belle matinée.

Écrit par : Aurélie | vendredi, 31 mars 2006

Les commentaires sont fermés.