lundi, 17 avril 2006
Après la rixe
8 avril. Six heures du soir.
Après la rixe, plus de souvenirs. L’homme ne sait pas comment rendre supportable la scène qui vient, rêveuse, de lui ravir ses meilleurs songes. (Un sonnet en prose est éternel.) Autour de lui, les gens rigolent de ses lèvres tuméfiées, de rien.
21:05 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Après la rixe, on reste fixe. Tout se mixe. La note tombe : six sur dix.
Écrit par : Fuligineuse | mardi, 18 avril 2006
Après la boxe, on reste dans la nox. Tout un max. La fosse, la tombe : dix suffixes.
Écrit par : Jacques Layani | mardi, 18 avril 2006
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