Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 19 avril 2006

VII

    Lire sous les chênes me faisait penser au Quercy, dont nous avons visité plusieurs sites et villes il y a sept ans. Samuel Beckett a séjourné longtemps à Cahors, où il s’était lié d’amitié avec un pâtissier très astucieux, et plein de verve. On peine à imaginer ce que pouvaient être leurs dialogues. Bien entendu, la biographe, pétrie de son importance, n’en dit pas un mot. Une cinquième phrase transporterait volontiers le spectre de Samuel à Onzain.

Commentaires

S. -- Mulot, savais-tu qu'il y a une exposition en-ligne de l'Université de Texas qui fête mon centenaire ?
M. -- Non ! Tu prends un pain aux raisins ?
S. -- Si tu cliques sur "I'll go on", tu y entres.
M. -- Ah ? Et si tu cliques sur "I can't go on" ?
S. -- Ben, tu prends un pain dans la gueule.

Écrit par : joye | mercredi, 19 avril 2006

http://www.hrc.utexas.edu/exhibitions/online/beckett/

(et le pain dans la gueule, il est délicieux aussi : http://olivereader.com/)

Écrit par : joye | mercredi, 19 avril 2006

Les commentaires sont fermés.