dimanche, 30 avril 2006
Obauk
Jeudi 27 avril.
Au cours de ce long, ce lent voyage en Corse, nous vîmes les vertes collines et les nuages qui lutinent. Des bergers le lointain courage, ou des soleils la langueur, rien ne nous retenait, libres de vos farouches regards côtiers.
Point de fuite, et des mois dépensés à toujours déblatérer ! Ailleurs, à Djibouti, chassés par milliers, nous devions dériver. Le tonnerre qui vacille et parsème d’étoiles la route, seulement luit.
10:00 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.