vendredi, 02 juin 2006
En fa
Le silure, dans la farine, lit un pavé de cabillaud, son romancier préféré.
Le forcené, dans la mélasse, tire un pavé de la mare, pour le lancer en l'air.
Le zèbre, dans la crevasse, creuse un pavé de ses dents, les amours jaunes.
20:30 Publié dans Narines enfarinées | Lien permanent | Commentaires (0)
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