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mercredi, 30 août 2006

Hallebarde(s)

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    Rue de la Hallebarde, il en tombait de nombreuses. Des chiens et des chats passaient, parfois amorphes et parfois pleins de vie. Cessez donc vos enfantillages, leur dis-je sans conviction. Un forçat (innocent : ils le sont toujours) passa et m'exhorta à me mâler de mes affaires. Il tournait son orgue de Barbarie, comme une vielle mécanique devenue folle. Me trouvait-il efféminé ? Jamais je ne le sus. Onze parapluies, à leur tour, passèrent, je suivis la plus jolie.

Commentaires

A coup sûr les deux premières phrases ont la pluie comme tronc commun...

Écrit par : fuligineuse | mercredi, 30 août 2006

J'le dirai à mon jules...

Écrit par : Arletty | mercredi, 30 août 2006

Les commentaires sont fermés.