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vendredi, 08 septembre 2006

Approches de l'adversité en milieu universitaire

    La réunion commença, dans la petite salle à l'atmosphère viciée. La responsable de formation était assise face à moi. C'est une dame que je connais un peu, que j'aime bien, a priori. Je remarquai qu'elle avait les ongles des orteils peints de cinq couleurs différentes (rose, bleu, orange, vert, marron au pied droit, et bleu, marron, rose, vert, orange au pied gauche), dans des sandales de type oriental.

Au cours de son speech (car ce n'était ni un topo, ni un laïus, ni une prise de parole), qui a duré moins de cinq minutes, elle a notamment prononcé les phrases suivantes (liste non exhaustive) :

Les étudiants s'interrogent sur pourquoi ils sont là. (Et moi donc...)

Il faut donc des personnes référents, comme quelqu'un qui seront là... (Intéressant.)

Nous mettons cela en place afin qu'ils puissent faire le point sur où ils en sont de leur réflexion. (De la syntaxe, pas d'ombre.)

 

Une jeune collègue qui a un certain poids, apparemment, dans cette formation de didactique, prend à son tour la parole, et nous explique comment faire pour que les étudiants "inter-agissent entre eux" et pour que, par la suite, nous puissions "inter-agir avec eux".

Eh bien...

08:30 Publié dans MOTS | Lien permanent | Commentaires (3) | Tags : Ligérienne

Commentaires

La même responsable de formation qui s'est absentée l'an passé pour un "rhume tunisien" ?

Écrit par : Denis | dimanche, 10 septembre 2006

Ouh la, Denis, nous sommes en terrain glissant. Mais c'est quelqu'un dont je n'ai jamais parlé, que j'aime bien, par ailleurs, et qui n'a rien à voir avec l'anglais.

How are you and Marie getting on ?

Écrit par : MuMM | dimanche, 10 septembre 2006

Désolé, il y a erreur sur la personne. Sans rancune, cher MuMM ?

Pour les nouvelles, je suis en recherche d'emploi et préparation de concours. Quant à Marie, tu la croiseras sûrement dans les couloirs de l'université même si tu ne l'as pas en cours cette année.

Écrit par : Denis | lundi, 11 septembre 2006

Les commentaires sont fermés.