vendredi, 28 septembre 2007
Emballements, embrasements
Je regarde la flamme qui danse. Toi, tu en as vu passer, dans ta vie, de ces gens petits ! Il fut ballé, sauté, dansé… Dès le premier coup d’œil, il fut enthousiasmé par la beauté brûlante d’Irina, et son sourire au premier chef. Je regarde la flamme qui, telle une belle fille lente, se plie et se dérobe aux à-coups du vent, et porte la nuit autour d’elle comme une toque. Le copiste avait lu Llano au lieu de llanto. Pierre s’était pendu – par amour.
[ 19.08.2007. ]
07:05 Publié dans Dimanche pleurera | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Bretagne, écriture
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