vendredi, 12 octobre 2007
Jokari
Un fossé sépare ceux qui, anxieux toujours, se triturent affreusement la peau des joues, de ceux qui, lisses dans leur sérénité et placides, se contentent, l’âge venu, de quelques coups liftés.
22:38 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Et pendant combien de temps dis-moi, doit-on encore jouer à se renvoyer la balle?
Écrit par : LinaLoca | mercredi, 17 octobre 2007
Lorsque cinq ans seront passés...
Écrit par : Federico Garcia MoMa | mercredi, 17 octobre 2007
Les commentaires sont fermés.