mercredi, 22 juin 2011
Pakistani Pomade (version 249/295)
Ce matin, je fus surpris d’observer une pie croiser le chat gris des voisins. Menu fretin, le félin indécis frôla l’oiseau plein d’aplomb – comme à Paris les Limousins.
Bonjour monsieur Courbet, voilà tout. Après cela venaient les éboueurs.
Les vieux matous ignorent tout, c’est la clé du bonheur.
19:40 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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