jeudi, 17 janvier 2013
Le Fouzy-Yama vu des roseaux
Approchez-vous, il ne se passe plus rien. Ni écriture, ni émotion, nous avons lâché les rênes. C’est comme en haut d’une impériale, ou dans une calèche. Je pose un doigt sur vos lèvres – vos joues sales, vous êtes belle. À chaque fois qu’un nuage traverse le ciel, je revois les rides sur le bon visage de mon arrière-grand-mère. Approchez.
Bernard van den Sigtenhorst-Meyer, Daniel Gardiole
08:55 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II, MUS, Unissons | Lien permanent | Commentaires (0)
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