jeudi, 21 mars 2013
Auprès d'avoir
Tout ce temps qu'on abandonne, qu'on ne reprend pour rien,
on le passe en quoi
en acrostiches
en fumerolles de rien
Ton ombre s'agace d'être pâle
et dans le jardin fondu au noir
Tes jambes lourdes te terrassent
le monde à l'envers
tête tombe
Tout le temps que tu bombes
le torse, radicelles poussées
phrases émoussées
Rien que fumerolles
22:59 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.