dimanche, 14 juillet 2013
danse dans
danse dans les terrains vagues
bagues au fond des faïences
désert aride vide immense
un monde aux entournures craque
à peine on retourne sa veste
à peine on massacre un printemps
à grand peine on hume le vent
à lourde peine on prend la peste
et ce n'est pas pour rien
le souverain bien
cueillir des prunes dans le chêne
allez péteux faire du quad
nous assourdir la prétentaine
ma nostalgie forme une escouade
10 juillet
18:38 Publié dans Sonnets de juin et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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