dimanche, 30 novembre 2014
Plaid
Je me demande si, lorsque j'agoniserai, j'aurai encore la force ou l'envie de lire de tels textes, m'intéresser à la littérature, se dit l'olibrius maladif avant de verser, sur un fond de café froid et un sachet de Yorkshire tea, de l'eau bouillante. Il n'a pas écrit son fameux texte sur les corbeaux. C'est une plaie, ou un plaid.
06:59 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II | Lien permanent | Commentaires (0)
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