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lundi, 05 janvier 2015

Fermata 2015

    « L’arrêt de bus ne ressemble à rien. Une banquette en béton, deux lampadaires rouillés, une poubelle et une pancarte marquée FERMATA qui oscille dans le vent des montagnes. […] J’ai craché trois fois. Le chartreux n’a rien vu. » (Yves Bichet. L’homme qui marche, chapitre 14, pp. 114-5)

 

Un chat s’est glissé derrière la fenêtre de mon bureau, rue des Tanneurs.

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Son vieux cuir épais n’a dupé personne. Il a cliqué sur le déclencheur, et voilà une autre vue, un jour de Saint Valentin. Du grand n’importe quoi.

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