lundi, 13 avril 2015
165 du regard
chignon noué que
tu as pointé sur
le fleuve au très loin
rivage admiré
miré ricochant
sur la rive allure
irisée
il danse perroquet
parfait invisible
dans le cercle de
ton pro fil, je te
dévore oui dévore
tout toi, l’oiseau me
mène au bal
je suis pris au piège
c’est ça un poème
quand le stratagème
heureux prend ce risque
se re ferme la
mâchoire à tout ça
qu’ajouter
sur le sol de verre
la belle envolée
décide un matin
quelle âme embrasser
s’arrache à la nuit
entame un périple
où la voir
trou au pantalon
mon œil s’effiloche
péri le genou
battu par les vents
pour y voir encore
un astre exigeant
battu froid
14:08 Publié dans Formes singulières, Septains christiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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