mardi, 25 octobre 2016
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Sans la métaphore, on choit dans la philosophie « pure ».
Or, la philosophie aussi est affaire de métaphores.
Par exemple, prête-t-on assez attention au jeu particulier du pluriel et du singulier, la façon dont ils se combattent au sein d'une même phrase ? Le singulier a souvent valeur de fiction, je veux dire de « chose figée ». Il introduit cette dimension modelée dans une phrase ouverte sinon à tous les vents des pluriels.
12:11 Publié dans Part oétique | Lien permanent | Commentaires (0)
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