Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 21 mars 2018

¦ 1 ¦

21032018

   Depuis plusieurs jours, je regarde les jonquilles fleuries de part et d'autre de l'allée qui mène au garage, chez nous, et, chaque jour, plusieurs fois par jour même, je me dis qu'il y a là un sonnet à écrire : douze jonquilles côté jardin et deux jonquilles côté marelle.

Pourtant, le sonnet n'est pas écrit.

Le sonnet ne s'écrit pas.

S'astreindre à écrire chaque jour, c'est faisable, même si l'indolence triomphe toujours.

Composer chaque jour, ce n'est pas possible. Parfois, les sonnets viennent par brassées. D'autres fois, c'est le silence, pendant des semaines voire des mois.

On se retrouve avec un recueil bien maigre, après dix ans.

Les jonquilles sont là. Il faudrait écrire le sonnet.

09:47 Publié dans Myriapode | Lien permanent | Commentaires (0)

Les commentaires sont fermés.