jeudi, 02 mars 2006
La Muse bagnéraise, de dos
Le gui te menace, mais tu restes insouciante, face au ciel nacré et fuligineux, dans l'évidence verticale des arbres qui t'escortent.
13:50 Publié dans Pauvres Pyrénées | Lien permanent | Commentaires (4)
Commentaires
Je n'avais pas vu ce dos.
Écrit par : Zette | vendredi, 02 mars 2007
C'était il y a un an. Le roman épistolaire a capoté (comme tant, comme tout).
Écrit par : MuMM | vendredi, 02 mars 2007
Ah tiens, étonnant d'être tombé par hasard précisément sur cette date. En fait j'ai fait une recherche par rubrique, "Pauvres Pyrénées" m'a plu pour son assonnance. J'ai remarqué pour la première fois les variations sur les titres des billets (je sais, je suis lente)
Mais non, tout ne capote pas: et ta traduction de Nurrudin Farah, quand sort-elle?
Et tes traductions de poèmes? Un par jour, c'était beaucoup: les jours multiples de trois, ou les nombres premiers, ou...
Écrit par : Zette | samedi, 03 mars 2007
On relancera tout cela vers mars. Pour la traduction, elle a été rendue en septembre à l'éditeur, qui parle de... début 2008. Bien, les grands éditeurs parisiens !
Écrit par : MuMM | samedi, 03 mars 2007
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