dimanche, 05 mars 2006
D
Les mains dans le cambouis, je campe dans mon atelier ; fort de mes dons manuels, je n'ai besoin d'aucune maxime ; à peine ai-je essuyé une larme en lisant, à quatorze ans, le deuxième tome du grand roman fleuve de Mikhaïl Cholokhov.
(Où je m'imagine en fétichiste des livres de poche, ce qui ne va pas sans dire.)
20:55 Publié dans Arbre à came | Lien permanent | Commentaires (0)
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