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samedi, 18 mars 2006

Piquants

    Vendredi 17, 21 h 55

J’ai très mal aux yeux, mais je continue de lire, et je préfère continuer d’écrire, je préfère cet aveuglement, me bousiller les yeux (ce n’est pas très malin, évidemment, et mon ophthalmologue n’en penserait rien de bien), à l’ennui atone qui naîtrait d’une cessation de toute action, oui, je veux lire et écrire, même s’il me serait doux de fermer les yeux. J’ajoute que tous les mots en gras sont écrits ce matin, samedi, et que là, ce sont mes os qui sont endoloris, et nullement mes yeux, je ne cille pas, même immobile et prostré face à l’écran de l’ordinateur, où vont les rêves, où voguent les sèves sans espoir d’un informe cortex (mais qu’est-ce qu’il raconte ???) Qui sème le vent…

22:30 Publié dans 721 | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

Aujourd'hui: un autre vendredi 17.
Je retrouve avec plaisir:
Où vont les reves;
Qui sème le vent.
Peut-je ajouter un autre?
Optimistique moi.

Écrit par : patricia | jeudi, 16 novembre 2006

Les commentaires sont fermés.