dimanche, 19 mars 2006
Le diable et son train
Vendredi 17, dix heures du soir.
[Bonus : Note disparue.]
Par une ironie qui se trouve être emblématique du roman à cet instant interrompu, les commandes des deux petites lampes situées au-dessus des sièges sont inversées*, et la lampe qui éclaire la place près de la fenêtre, où se trouve la tablette inamovible où poser feuille et stylo, ne marche pas. Je me suis déplacé d’un siège – maintenant que le compartiment est presque vide – pour mieux voir ; mais j’écris avec la feuille calée sur mon genou par le roman de Beyrouk (qui n’est pas le roman en cours de lecture, mais le roman lu auparavant).
* Rendre simple et aisément compréhensible une explication technique est ce que je trouve le plus difficile.
08:46 Publié dans Les Murmures de Morminal | Lien permanent | Commentaires (0)
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