Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 19 mars 2006

Le diable et son train

Vendredi 17, dix heures du soir.

[Bonus : Note disparue.]

    Par une ironie qui se trouve être emblématique du roman à cet instant interrompu, les commandes des deux petites lampes situées au-dessus des sièges sont inversées*, et la lampe qui éclaire la place près de la fenêtre, où se trouve la tablette inamovible où poser feuille et stylo, ne marche pas. Je me suis déplacé d’un siège – maintenant que le compartiment est presque vide – pour mieux voir ; mais j’écris avec la feuille calée sur mon genou par le roman de Beyrouk (qui n’est pas le roman en cours de lecture, mais le roman lu auparavant).

 

* Rendre simple et aisément compréhensible une explication technique est ce que je trouve le plus difficile.

Les commentaires sont fermés.