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samedi, 18 mars 2006

Sudoku-post

    Vendredi 17, 21 h 30.

Ce matin, j’ai noté, sur une feuille A4 rouge pliée en deux, des bribes en style télégraphique, qui correspondaient aux actions « nues » (brutes) de mon voyage.


Ce soir, j’ai un peu fait de même, dans l’idée d’en composer un texte haché, intitulé «Aller-retour». Je n’ai d’ailleurs pas abandonné cette idée, mais, sous l’influence du style si particulier (même en traduction) d’Enrique Vila-Matas (les sept premiers chapitres de Docteur Pasavento), je me suis mis à écrire mal (mauvaise calligraphie, cacographie donc : pointe fine, inconfort de la tablette inamovible du compartiment Corail, et remous du train n’aidant pas) mais dans une syntaxe plus élaborée sur l’autre feuille rouge pliée en quatre.

Je ne vais pas déjà parler de Docteur Pasavento, si ce n’est pour dire qu’il est composé de quatre parties, dont les trois premières totalisent 41 chapitres, et la quatrième en compte 40. Les 81 chapitres se redivisent-ils en un carré de 9 ?


Je ne suis pas seul obsédé par les chiffres, [[[mais ça ne prend pas la forme du sudoku. J’attends le prochain roman de Vila-Matas : il va bien parler du sudoku, puisque le narrateur de Docteur Pasavento se dit surtout intéressé par les pages sportives du quotidien qui l’emmène vers Séville.

Ce passage entre trois crochets est ajouté ce matin samedi 18 (de même que les deux premières parenthèses de ce billet (de ce post (de cette note))). Ma mère adore les sudoku. Je ne peux tenir ma langue, ni m’en tenir à l’esquisse. Ça (pas l'eau du bain tout de même) déborde.]]]

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