samedi, 25 mars 2006
Sans cran
C'est atroce : désireux d'écrire, j'ai allumé cet ordinateur, puis, par un glissement malencontreux, je me suis retrouvé à naviguer sur l'immense toile (cependant que la Musique (de Rameau puis de Marin Marais) me prenait comme une mer) et je n'ai rien écrit des huit ou neuf notes dont je caressais ardemment les scintillations. Est-il être plus velléitaire que moi ?
17:28 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (5)
Commentaires
cela m'arrive parfois, et maintenant j'écris généralement ma note avant d'aller me répendre sur l'immense toile !
De plus, je suis surpris quand je vois l'heure indiquée par la pendule.
Le temps passe trés vite sur la toile qui est un univers sans fin !
Écrit par : steph | dimanche, 26 mars 2006
Cette expérience est partagée, je dirais "forcément" par tous ceux qui se hasardent à visiter la toile. Ce n'est pas pour rien qu'elle porte ce nom-là. L'insecte qui nous dévore, ici, c'est le temps ; et chacun sait combien il connait toutes les ruses...
Écrit par : Martine Layani | dimanche, 26 mars 2006
... et j'y vais sans chapeau, quelle naïve !
Écrit par : Martine Layani | dimanche, 26 mars 2006
En parlant de chapeaux, je passe à peine du coq à l'âne si je vous conseille un billet de Tinou sur une bien étrange chapellerie de Tours :
http://toursmaville.hautetfort.com/archive/2006/03/23/chapeau-de-tinou.html
Écrit par : MuMM | dimanche, 26 mars 2006
"sur l'immense toile ": le titre trahit le message, et moi qui croyais qu'il écrivait sans cran écran.
Écrit par : Aurélie | dimanche, 26 mars 2006
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