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mardi, 28 mars 2006

WHH

    Signe ou coïncidence ? Deux livres que je viens de lire, simultanément d'ailleurs, font assez longuement référence à W.H. Hudson, dont je pensais (sottement, arrogamment) être l'un des rares à connaître un peu les textes, pour des raisons complexes d'ailleurs*. Il s'agit de Rannoch Moor, le dernier volume paru du journal de Renaud Camus (chaudement recommandé) et du dernier roman traduit d'Enrique Vila-Matas, Docteur Pasavento (ditto).

Son nom, depuis que je le rencontrai, me fascina, et c'est peu dire que son œuvre aussi fut matière à intrigues et échauffement de synapses.

 

* Mon intérêt pour les auteurs « coloniaux » (en amont de mes travaux sur la postcolonie) d'une part, fascination du vieux Hueffer (mais si : F.H.H., aka F.M.H. aka F.M.F.) pour W.H.H. d'autre part.

Commentaires

Ah ah ! Je dois être une des rares Huefferophiles à avoir compris cet enchaînement d’initiales, en référence à DROF (en verlan (je ne parle jamais en verlan mais là j’avais envie)).
Bien, vous proposez F.H.H., F.M.H., F.M.F. : 9 lettres, pas mieux. Je vous laisse la journée pour me trouver un mot.

Écrit par : Aurélie | mardi, 28 mars 2006

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