jeudi, 06 avril 2006
6 avril 1520
Il y a 484 ans mourait Raphaël.
15:40 Publié dans Hystéries historiées | Lien permanent | Commentaires (12)
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Commentaires
J'aurai dit 486, mais c'est pas moi le numérophile (numéromane ? numéropathe ?)
Écrit par : Simon | dimanche, 09 avril 2006
Ouh la la, j'étais fatigué... (Je me dis que tu es presque le seul à me lire attentivement, mais je vais vexer les autres si j'écris ça. (Mais c'est trop tard : je l'ai écrit. Pourtant, je ne le pense pas... Etc.))
Écrit par : MuMM | dimanche, 09 avril 2006
Pour répondre à ta question, Simon (qui moi aussi m’a intriguée), il semblerait qu’il n’existe ni numérophile, ni numéromane ou numéropathe (et le numérologue n’a rien à voir avec les chiffres me semble-t-il). Quoi qu’il en soit, le musicien n’en est pas un ! Plus doué en arithmétique littéraire…
Il lui arrive toutefois de parler de chiffres ; moi, je ne comprends rien, mais ça n’est peut-être pas un hasard…
Écrit par : Aurélie | dimanche, 09 avril 2006
J'avoue que je soupçonnais aussi, que, perdus dans la pléthore de commentaires qui renouvellent chaque jour le bloc "ça discute", mon commentaire ne sonit pas lu ! Tu ne corriges donc jamais tes innombrables fautes de frappes ! Tu as raison, c'est plus authentique.
Écrit par : Simon | mercredi, 12 avril 2006
Innombrables ? Tu galèjes !!!
Écrit par : MuMM | mercredi, 12 avril 2006
Non, j'arroumègue, peuchère !
Écrit par : Simon | mercredi, 12 avril 2006
Mes fautes de frappe ? Ca devient grave, je n’arrive même pas à les voir…
Bien, je prends toutefois bonne note de ta remarque. Quant à toi, surveille tes fautes d’orthographe : c’est plus authentique, soit, mais pas très esthétique !
Écrit par : Aurélie | mercredi, 12 avril 2006
Je ne sais donc si ta remarque sur les coquilles innombrables est du lard ou du cochon, mais, dans tous les cas, tu confonds gascon et provençal, mon garçon : "rouméguer" ou "arrouméguer" se limite au Sud-Ouest, et tu n'entendras jamais "peuchère" à l'ouest de Nîmes !
C'est un peu comme de dire ou d'écrire : "I was walking on the pavement when I saw a beautiful building ; I entered the building and then I took the elevator".
(Je le dis gentiment, ok :-))
Écrit par : MuMM | mercredi, 12 avril 2006
Aurélie > vous postâtes votre commentaire avant le mien, qui s'adressait à Simon, bien sûr. Et j'ajoute que Simon ne saurait vous reprocher de ne pas corriger vos coquilles, puisque le seul à pouvoir corriger quelque chose ici, c'est l'auteur du site, et oncques votre serviteur !
Écrit par : MuMM | mercredi, 12 avril 2006
Bien, bien, bien…
Alors excuse-moi Simon pour la petite remarque acide que je t’ai adressée. On s’impose parfois avec impertinence, quand on se sait pas, dixit MuMM, si c’est du lard ou du cochon. Ma remarque témoigne….
Écrit par : Aurélie | mercredi, 12 avril 2006
C'est moi le fautif :
- J'ai oublié de préciser que je parlais à MuMM, non à Aurélie,
- Je n'ai pas répondu à Aurélie, ce qui n'est guère courtois,
- J'ai voulu bêtement montrer à MuMM que je me souvenais du verbe arrouméguer, sans me préoccuper des graves conséquences jargoniques de mes erreurs,
- J'ai oublié de mettre un petit " :) " pour préciser la teneur de mon discours (mais tu ne fais presque jamais de coquille, MuMM !)
–Toutes mes excuses !–
Aurélie > Le "s" à "frappe", c'est ça ma faute ? Désolé pour l'incompréhension, je n'ai voulu mettre personne en colère, moi !
MuMM > Pas fâché non plus, le jaseur méridional ? OK pour peuchère, pavement/lift et sidewalk/elevator !
Écrit par : Simon | jeudi, 13 avril 2006
Oublie ma remarque Simon !
Et je m’excuse encore, disons que c’était une faute de frappe… C’est très gentil de ta part de me répondre ; mais ne t’inquiète pas pour les malentendus de ce genre. Nous n’avons que les mots, et ils ne résonnent (et ne raisonnent) pas de la même manière pour tous.
T’as vu ? J’ai fait mon premier (court, soit !) commentaire sur ton blog !
Écrit par : Aurélie | jeudi, 13 avril 2006
Les commentaires sont fermés.