lundi, 01 mai 2006
Sursauts de la grenouille
28 avril. 14 h 15.
La haine persiste dans ces regards qui fuient, jusqu’à plus soif. Jamais la fureur ne te laissa perplexe. Les os perclus de douleurs assassines, tu vas jaser en des joutes vaines, violentes ; c’est du temps perdu.
Va te réconcilier avec tes spectres familiers, qui répondront à tes larmes. Mêle tes larmes aux embrassades claires, aux sourires lassés, aux terreurs des portes sans clef.
10:00 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (0)
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