mardi, 23 mai 2006
Mieux disant
Ruissellent les heures, et, quand elles s'en vont, elles pèsent lourdement sur les fantômes envolés des rues. Rameutez les faunes ahuris, les donzelles d'autres dynasties, elles qui, la peur au ventre, désertent les infinis.
(Il faudrait tout de même que j'extirpe de leurs cartons mes vieux écrits, pour les dépoussiérer.)
Respirons de concert, avec des flammes dans les yeux.
10:00 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (1)
Commentaires
"jadis" "vieux écrits"... Est-ce le coup de vieux ou un effet ?
Écrit par : paul | mardi, 23 mai 2006
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