vendredi, 30 juin 2006
Aurora
Michel Leiris vous hante ; cet homme est là, un livre lu haut. Il hennit, faible leurre.
C'est votre rêve vivant. Que jamais les nuages ne jasent. Dites non.
11:01 Publié dans Sonnets de février et d'après | Lien permanent | Commentaires (2)
Commentaires
Je rêvais corne de taureau.
Écrit par : Simon | dimanche, 02 juillet 2006
Sereinement, bien entendu ;)
Écrit par : MuMM | dimanche, 02 juillet 2006
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