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dimanche, 17 septembre 2006
Au plafond
22:55 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature
A Turn in the South, 4 : toute une vie
Je ne comptais pas reprendre le clavier, ainsi. Veux lire moi. Mais.............
............. hier soir j'ai lu les trois-quarts de C'était toute une vie de François Bon : belles pages sur le monument aux morts de la guerre de 14 (Lodève) et les quatre figures féminines............
::: ce soir, m'asseyant à la bibliothèque, je reprends A Turn in the South de V.S. Naipaul où je l'avais laissé il y a une semaine à peu près ::: page 99 ::: monument vu à Charleston ::: hommage aux victimes de la guerre de Sécession :::
There was rhetoric in that reference to women; monuments of grief and revenge, of grief and piety, are most unsettling when they depict women bowed in grief.
Vous ratez tout, qui lisez un livre à la fois.
21:04 Publié dans Unissons | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Littérature
Eaux d'ici (Odyssey)
Le cours de l'Indre m'est cher.
Vienne la Loire.
20:05 Publié dans Minimalistes | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne
Rue Tartifume
Messages pour les masques : ne laissez pas traîner votre bois trop près des enclumes.
Message pour les danseurs : que peut bien signifier ce toponyme/patronyme tartifume ? Hormis Bruneau de Tartifume, Google ne signale qu'une foultitude de rues Tartifume, ce qui ne m'avance guère...
15:50 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (1) | Tags : Ligérienne
21
bus 8 pas bondé
midi passé la buée
masque l'avenue
et revire le Pont bleu
au fond la mémoire grise
13:30 Publié dans Tankas de Touraine | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
... la voix dénuée de syllabes ...
11:10 Publié dans Kyrielles de Kaprekar | Lien permanent | Commentaires (0)
Jacques Roubaud en ce dimanche : Henri Passérieu
Où l'on voit Roubaud, parodiant Hérédia, mêler ses impostures à celles d'E. V.-M. ...
Il se trouve cerné sur un champ de bataille
Par cinquante guerriers, noirs démons forcenés :
Sur son visage ardent, une sublime entaille
Rougissait d'un sang pur ses traits illuminés.
(1er quatrain du Sonnet militaire de Henri Passérieu.
In Nous, les Moins-que-Rien, Fils aînés de Personne, p. 131)
... pour ne plus retrouver le chemin des aventures. "Personne t'arrêtera", chantait Jean-Patrick Capdevielle au début des années 80. Autant dire qu'il devait s'adresser au Cyclope. (Les fils aînés de Personne, descendants d'Ulysse, Télémaque plaqué au télescope, m'en sont témoins, et ne sont pas non plus les enfants sans enfants dont Kafka, selon E. V.-M., est l'emblème.)
09:00 Publié dans Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Littérature
Zone d'ombre près / du parasol replié
07:20 Publié dans Rues, plaques, places | Lien permanent | Commentaires (0) | Tags : Ligérienne
Ross :: Loiterature :: Chambers
06:31 Publié dans Pêle-mêle | Lien permanent | Commentaires (2) | Tags : Littérature