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vendredi, 08 avril 2011

Une matinée dans les cordes

    C’est une matinée de quatuor à cordes. Trois de Philip Glass (qui m’agace), par le Kronos Quartet, puis redécouverte des quatuors de Vincent d’Indy, avant les op. 130 et 133 de Beethoven. Je suis déguisé (partiellement) en cowboy car je suis roi de Chenonceau. Mon cheval se nomme Framôme. Ce moment d’angoisse, porté par l’alto et le violoncelle…

Peu à peu je reprends peu à peu pied dans ce site, dans ses projets d’écriture laissés en plan, je renoue avec ces pages grises comme avec une vieille et solide connaissance longtemps perdue de vue. ONZE SIGNES (Nous avons commencé par faire sauvagement l’amour, comme si aucun laps n’avait eu lieu, puis timidement hésitons à retrouver le fil d’anciennes conversations, découvrant de nouveaux horizons des tentations inédites.)

De telles retrouvailles appellent aussi de nouveaux projets, comme ce texte que je veux écrire et publier sur trente-et-une journées (comme, il y a cinq ans, celui sur Beckett). La lenteur vibrante contamine le second violon.

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