mardi, 20 mars 2012
Ménage papillon
Combien de cafés faudra-t-il encore pour me dessiller les yeux, ou m’empêcher de renverser de la Povidone iodée sur le sofa, du Fluisédal sur la nappe, ou me prémunir contre tout accrochage avec, par exemple, une Safrane d’où sortirait une époustouflante beauté ? Le temps d’apprendre à regarder le soleil en face, le ciel s’étiole. Et ces noirs sont-ils souhaitables ?
08:47 Publié dans J'allaite le nouveau Kant, II | Lien permanent | Commentaires (0)
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