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mardi, 04 septembre 2012

Par les rues et les chemins

    Les Gigues de Debussy sont un point de recommencement qui en vaut d'autres, pensa-t-il à la dérobée, c'est-à-dire en se cachant sa pensée à lui-même. Une phrase bien tortueuse et abstruse, sans doute idéale pour marquer combien rien n'avait changé.

 

Fabrice est mort, nous ne l'avions pas su. Comme la noirceur frappe ces familles que nous aimons, même de loin, ceux qui, sans être nos intimes, nous paraissent si voisins, il n'y a rien à dire, tout à souffrir. Alors on souffre, rien jamais ne recommence.

14:14 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0)

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