vendredi, 25 janvier 2013
Décrassage
Mes rares incursions dans le fantastique m’ont valu des ennuis, et, certaines années, des volées de bois vert. On ne comprend pas les situations de la même façon, selon que l’on se trouve caché dans les bosquets, au milieu d’un rond-point, dans le vacarme de cent poids lourds par heure, ou de l’autre côté du fleuve, comme derrière une vitre solide. Ainsi, les journées passent, au cordeau. Un jeune homme, veston impeccable, lunettes stylées, vraie gravure de mode, marche dans une merde de chien devant vos yeux.
08:15 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (0)
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