jeudi, 04 février 2016
Fait divers
Entre deux moments d'affaissement, ou la rédaction sommaire du log book, ou peut-être une improvisation de saxophone, un exercice de hautbois, on pouvait regarder frontalement, puis sous toutes les coutures, cette statuette lobi (ou béti, peut-être), avant d'éplucher le journal local acheté le matin même à Hornu, et où s'étalait, quelque part dans les pages consacrées aux faits divers, ce titre improbable :
Un octogénaire s'étouffe avec un bout de viande
L'article était illustré d'une photo de steak frites, avec une légende plus cocasse encore que l'article lui-même :
Un bout de viande fatal
(Que n'a-t-on pas lu, de bribes, dans les gîtes ?)
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« Ce n’est pas avec des emprunts, c’est avec des épargnes que la compagnie a pu se créer un port en 1828, un chemin de fer en 1835 ; c’est encore au moyen de ses épargnes qu’elle va compléter ses lignes rapides par un embranchement qui rejoindra le réseau belge à Peruwelz, sur la frontière, en continuant le tronçon de 19 kilomètres qui lui donne par Somain une issue sur le réseau français. »
14:57 Publié dans Artois, à moi, Brille de mille yeux, Droit de cité | Lien permanent | Commentaires (0)
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