dimanche, 08 mai 2016
La Vérité en peinture / Quatrains frankiens.
C'est la Mona Lisa.
Son sourire est une carie
Pour le babiroussa.
Que n'ai-je soigné le pécari ?
L'imagination,
On la nomme folle du logis.
Même en hibernation
Que n'apprendrais-je en zoologie ?
Le vieux nestor kéa
Dans la nuit trop noire a péri.
Ce genre d'aléa,
Que n'avais-je soigné le kiwi ?
Pas l'être, le passage :
Ce que je peindrai, que je peignis.
Vous connaissez l'adage.
Que n'ai-je appris avec Harpignies ?
Mort de soif dans l'enclos,
Mon fantôme ce soir a gémi.
L'axiome est forclos.
Que n'ai-je potassé l'alchimie ?
Toujours vous revenez
À ce débrouillard de Vinci.
Moi, je l'ai dans le nez.
Que n'ai-je l'âme plus endurcie ?
Que n'ai-je l'âme plus endurcie ?
Que n'ai-je l'âme plus endurcie ?
07:44 Publié dans Quatrains frankiens | Lien permanent | Commentaires (0)
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