mardi, 20 septembre 2016
Dépotoirs de quoi
Untung-untung
20 septembre 2015
Cela fait un bon moment que j'ai dans l'idée de disperser une partie de mes livres, notamment les usés, les défraîchis, ou les merdiques que je ne lirai plus, ou que je n'ai jamais aimés (cela arrive).
J'ai une idée de dispersion un peu théâtralisée, ou vidéographiée, et c'est pour cela d'ailleurs que, velléitaire et feignasse, je n'en ai encore rien fait.
Or, au moment même où un de mes amis parle de refourguer, donner, offrir presque toute sa cargaison, François Bon, lui, a eu, à six cents mètres de chez moi, une (més)aventure assez frappante, très révélatrice, à plus d'un titre.
20 septembre 2016
Velléitaire et feignasse, j'ai surtout, entre-temps, laissé en plan les traductions sans filet (mais ça marchait mal, techniquement, et, sur le fond, pas grand monde n'en avait grand chose à faire (perdre une heure par jour pour 12 vues sur YouTube au bout d'une semaine, wtf)). Ce que je sais faire, vaguement, c'est écrire. Alors, j'arrache plutôt quelques instants chaque jour pour ça.
(Par parenthèse, cinq exemplaires du recueil de sonnets ont été vendus depuis la parution samedi.)
Pour ce qui est des vieux livres, histoire d'en revenir à ce que j'écrivais il y a un an, l'histoire justement en est au point mort : ni liste, ni projet urbain décalé.
08:45 Publié dans Untung-untung | Lien permanent | Commentaires (0)
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