mardi, 20 septembre 2016
La mia pallida faccia
La mia
(ce n'est pas le narrateur keatsien qui
s'exprime)
pallida (oui, ta tronche parfois
burinée
sévèrement s'imprime sur
le tissu du suaire) faccia
(le poème qui coule au
robinet, avec ta langue blanche tu bois au goulot
madrier sans mesure
pour une chanson) serinée
10:12 Publié dans Onzains germains | Lien permanent | Commentaires (0)
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