dimanche, 27 août 2017
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Et quand, aux derniers jours du mois d'août, la langue d'herbe pelée le long de la grande dalle de béton s'est trouvée jonchée de ces sortes de prunes d'ente sèches comme des coups de trique, il ne les a pas ramassées pour les jeter à la benne, préférant que fourmis, guêpes et autres peut-être insectes peut-être invisibles s'en délectent, s'y nichent, y trouvent leur demeure, peut-être.
La paralysie ne toucherait alors que la pogne à charrue, pas la pogne à plume.
08:27 Publié dans La rature a horreur du vide | Lien permanent | Commentaires (0)
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