Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

dimanche, 14 janvier 2018

x

x

 

    De la cuisine où j'ai attendu qu'infuse le thé – je mens un peu, mais pas beaucoup car si je n'ai pas fait ça réellement aujourd'hui jeudi 25 janvier 2018 à cinq heures moins le quart, ça m'est arrivé suffisamment souvent pour que ce soit vrai d'un point de vue autobiographique général – j'ai vu passer un jeune type, 25 ans peut-être, peut-être moins, qui trimbalait, non, qui promenait, avec quelque difficulté même, un énorme saint-bernard. Cinq minutes après, je l'ai vu passer dans l'autre sens.

Cinq ou dix minutes plus tard, je n'avais pas l'oeil sur la montre, j'ai vu ce même type passer, tenant en laisse, cette fois, un solide patou des Pyrénées.

Un tel gag s'explique, sans doute : le plus probable est que ce jeune homme garde des chiens, ou même que ce sont ses chiens et que, vu la taille des bêtes (et la difficulté qu'il avait déjà à s'en traîner un seul), il est contraint de les promener un par un. En revanche, les promenades sont des virées express, certainement à cause de la pluie.

Les commentaires sont fermés.