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mardi, 11 février 2020

104–Székely–Piano

 

    Comment échapper à ces questions de vie sauvage et de vie civilisée. On voudrait bien (re)vivre en sauvage(s), mais pas facile. À peine un graffiti suggère-t-il Vive le vandalisme qu’on s’offusque, forcément. Et déjà, n’est-on pas déjà assez occupé à penser resémantiser les adverbes (forcément).

Le vandalisme, ce n’est pas la vie sauvage. Ce renard n’avait rien d’une brute ou d’un vandale. Tant de grâce et de majesté. C’est tout notre béton la saloperie, le vandalisme.

(Le vrai, veux-je dire. Vous me suivez ? — Pas forcément. — Efforcez-vous, alors. Forcément, c’est en forçant.)

Ce serait donc un faux dualisme, vie sauvage vs vie civilisée.

C’en est fini et je n’ai pas eu le temps d’embrayer : le sujet, c’était comment échapper au piano. Clavecin, orgue, et même pianoforte, sont si discrets dans les parages.

On se croit dans une gare.

 

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