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jeudi, 23 juillet 2020

@9

24 juillet

 

c’est ainsi qu’on vide encore

des placards déjà vides

mémoires lucides

gardent du passé le hardcore

 

repoussant le drap humide

on aère on essore,

le souvenir fore

en soi plus profond qu’une ride

 

comme passe devant l’écran

le moustique zézayant

éclairé il n’échappe

 

pas au claquement

de la main l’écrasant,

oh temps ton long travail de sape

 

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