jeudi, 16 janvier 2025
IV, seize
quelle palme sous le vent,
quelle branche alourdie,
quoi de terrifiant,
quel assommoir
pour des rêves qui n’ont pas de fin,
des fleuves sans estuaire
où ta barque chavire
sans un clapotis,
sans rames ni rameur
09:09 Publié dans Infortunés védiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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