mercredi, 15 janvier 2025
IV, quinze
à mi-côte
je dépasse en douceur
le vieil homme avec son cabas
qui n’est peut-être qu’un sac
(un havresac,
un baluchon ?)
les mots remontent de très loin
dans le poème : laisse-les
affleurer
05:45 Publié dans Infortunés védiques | Lien permanent | Commentaires (0)
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