vendredi, 17 avril 2015
126 d’espièglerie
la
valse en voie nos silences
à des années sans ma
juscule ça danse avec
les mots les tremblements
pour tant
se taire
est-ce
un en vol de cigognes
chalou pé, pesant ? non
accepte la douce ivresse
de rien, des mots fermés
par nos
ratures
donc
dire une admiration
aussi folle, se col
tiner quatre strophes
envols ou pas de ci
gognes : che
veux noirs
la
terrible intransigeance
de ce regard tu l’as
donnée par ta jeunesse
espiègle, l’âme un peu sa
lope de
ta clope
12:30 Publié dans Formes singulières, Septains christiques | Lien permanent | Commentaires (0)
lundi, 13 avril 2015
165 du regard
chignon noué que
tu as pointé sur
le fleuve au très loin
rivage admiré
miré ricochant
sur la rive allure
irisée
il danse perroquet
parfait invisible
dans le cercle de
ton pro fil, je te
dévore oui dévore
tout toi, l’oiseau me
mène au bal
je suis pris au piège
c’est ça un poème
quand le stratagème
heureux prend ce risque
se re ferme la
mâchoire à tout ça
qu’ajouter
sur le sol de verre
la belle envolée
décide un matin
quelle âme embrasser
s’arrache à la nuit
entame un périple
où la voir
trou au pantalon
mon œil s’effiloche
péri le genou
battu par les vents
pour y voir encore
un astre exigeant
battu froid
14:08 Publié dans Formes singulières, Septains christiques | Lien permanent | Commentaires (0)