jeudi, 02 mars 2006
Presque
J’écoute en boucle les quatre mouvements du motet O qui caeli de Vivaldi, et les cordes me pincent, la voix m’attire dans les noirceurs d’une extase qui m’est interdite, l’Alleluia me transporte enfin et me fait oublier toutes mes frilosités, mes cauchemars, et même (presque) la fureur qui me fait, toujours davantage, écrire sur les portées de ce carnet.
18:20 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (0)
Les commentaires sont fermés.