Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mardi, 21 mars 2006

L’On du Livre

    On dit on. Pas par commodité, mais pour ne plus s’y retrouver, comme dans le labyrinthe de fer forgé. Or, une dame nous tendit un prospectus pauvrement ronéoté, après s’être assurée, nous scrutant un interminable instant, que nous écoutions Alain Mabanckou avec la déférence qui s’impose.

La feuille de format A4 annonce le Premier Printemps des Intellectuels, Poètes, Ecrivains et Artistes Noirs, à la Sorbonne, le 8 avril 2006 à 13 h 30 (amphithéâtre Richelieu), à l’initiative de Djibril Gningue, président de l’Association Internationale Cheikh Anta Diop.

04:45 Publié dans Onagre 87 | Lien permanent | Commentaires (2)

Commentaires

Un de mes anciens profs (R.I.P.) disait : "On" est un con, qui désigne qui l'emploie !

Le "je" étant haïssable, reste le "nous" collectif ! Mais le "nous" fait-il l'unanimité dans l'opinion émise ?

Alors, que dire ?

Écrit par : Lidoire | mardi, 21 mars 2006

Le moi est haïssable, mais pas le *je* :-)

Écrit par : MuMM | mardi, 21 mars 2006

Les commentaires sont fermés.