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jeudi, 23 mars 2006

Fatrasie du mercredi, 1

    Mercredi, onze heures du soir.

Je ne sais par quoi commencer cette fatrasie. Fatrasie, car mon cerveau est un tel capharnaüm, une telle bousculade de petites pensées informes, qu’il ne saurait y avoir d’ordre, de progression. Enfin, nous verrons bien.
[Il faudra peut-être en segmenter la publication. (D’un autre côté, c’est fatigant.)]

 

J’aime que la langue française, au dualisme constaté en allemand et en anglais, préfère, pour la situation pédagogique, une amphibologie : apprendre, c’est donner comme recevoir. Cela pose d’ailleurs d’énormes difficultés aux étudiants anglicistes peu attentifs, qui peuvent à l’occasion s’emmêler les pinceaux entre learn et teach, comme les germanistes approximatifs sont facilement déroutés par le duo lehren/lernen. J’enfonce des portes ouvertes, mais ce que je voulais raconter, c’est qu’ayant appris aujourd’hui à mon fils le mot alevin, j’ai été saisi de l’envie d’écrire une note sur ce beau mot, et donc par le désir d’en apprendre moi-même plus sur le mot, sur l’alevinage bien sûr, mais aussi – pourquoi pas ? – sur des poèmes qui feraient rimer ce substantif avec l’adjectif divin ou le nom devin.

Fils ? j’apprends plus encore que je ne lui apprends (enfin, il eût fallu que je me penchasse sur mes dictionnaires au lieu de me précipiter sur le prurit de ces pages).

 

 

--- Bonus I ---

06:25 Publié dans MOTS | Lien permanent | Commentaires (1)

Commentaires

Et pourquoi ne pas faire rimer les subsbtantifs avec les substantifs?
Alevin et requin, non?

Écrit par : Aurélie | jeudi, 23 mars 2006

Les commentaires sont fermés.