dimanche, 02 avril 2006
Avant les visions d’avril, 0
Après un repas sommaire mais succulent, composé d’une salade de riz complexe, de quelques tranches de pain tartinées des excellentes rillettes de Grégory Brion, avec, à l’arrosade, deux fières lampées de Marsannay Domaine Nicolas Theuriet, il faut bien perpétuer ou tenter de poursuivre les rites, d’où cette atmosphère de fer, ce silence de velours, cette langue qui s’éprend d’elle-même.
20:45 Publié dans 59 | Lien permanent | Commentaires (3)
Commentaires
Tu as le profil d'un prof de lettres classiques
Écrit par : Croquette | dimanche, 02 avril 2006
Sans commentaire.
Écrit par : MuMM | dimanche, 02 avril 2006
Un prof de lettres qui fait des pléonasmes…
Écrit par : Aurélie | dimanche, 02 avril 2006
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